Les ex-eurodéputés Antonio Panzeri et Gilles Pargneaux, visés par une enquête du parquet belge sur la corruption du parlement de Bruxelles par le Maroc, sont depuis des années instrumentalisés par le royaume chérifien pour plaider sa cause sur le Sahara occidental. La volonté de Rabat d’annexer ce territoire occupé depuis 1975 pourrait expliquer les généreux cadeaux de la monarchie marocaine dans les coulisses du parlement européen. Le 2 mars dernier, le parlement européen a annoncé qu’il allait se porter partie civile dans l’affaire du Marocgate.
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